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Léon Freeman - Jake Gynllenhaal.


✎ caractères —

idéaliste, rêveur, passionné, dans le partage, intelligent.


✎ biographie —

Léon, la tête dans les nuages et les pieds sur terre. Léon, 40 ans cette année, mène une vie particulière. Depuis tout petit, il c’est toujours retrouvé à part. Né en Irlande, accent british, belle petite gueule, ce petit garçon n’a pourtant pas pu empêcher le divorce de ses parents. Un divorce qui fut d’ailleurs particulièrement difficile à vivre pour le petit garçon qu’il était. Lui, ce dont il avait besoin, c’est de stabilité, et ça, il ne l’a jamais connu. Baladé chaque semaine de maisons en maisons, il ne se souvient que de très peu d’une vie à trois sous le même toit, avec maman et papa mais plutôt de papa ramenant des conquêtes à la maison qui n’hésitait jamais à fumer dans la cuisine alors que ses yeux lui brulaient encore de sommeil, et de maman la semaine d’après débordé avec son travail qui n’arrivait pas à prendre de temps pour le petit garçon. Résultat ? Sa chambre était devenu son refuge, chambre qui changeait chaque semaine mais qui restait, peu importe la maison, son havre de paix.


Réfugié dans un monde imaginaire, c’est la seule chose qu’il savait faire. Perdu dans ses pensées à longueur de journée faute de pouvoir parler, il n’a jamais eu à l’école beaucoup d’amis. Petit garçon plutôt solitaire, il ne pouvait compter que sur Dave et François, ses deux meilleurs amis de l’époque avec qui il à grandit. Un dans la rue de papa, un dans la rue de maman, et ça faisait de Léon le plus heureux des petits garçons. Malgré ses deux amis, il se sentait à part, peut importe ce qu’il faisait, où il allait. Et cette sensation s’accentua au lycée, à cet âge ingrat où les différences sont pointées du doigts. On ne peut même pas dire qu’il se rattrapait sur le plan scolaire, si déjà il ne profitait pas de sa jeunesse. Non, parce qu’il sélectionnait les matières qui l’intéressait. Résultat : bonne note en littérature, une catastrophe en science. Lui son truc, c’est écrire, inventer des univers, des personnages. Malgré tout, ses expériences de lycées, il les fit avec ces deux amis, toujours les mêmes. Pas concluent, ça ne l’intéresse pas. Il n’est pas comme eux et ça lui va.


La faculté fut une révélation pour lui ; enfin la possibilité de passer ses journées à ne faire qu’apprendre à propos de littérature avec des personnes autour de lui qui le comprenne. Le rêve ! Il se lance dans l’écriture à corps perdu, jusqu’à sortir son premier roman. Mais il n’y a que dans les films et les séries qu’un jeune auteur connait le succès immédiatement. Le retour à la réalité fut un peu plus compliqué pour Léon, qui du trouver un travail de professeur pour subvenir à ses besoins. Mais loin de lui l’idée de mettre de côté sa passion dévorante pour l’écriture, qui le suit depuis toujours. Il joue et abuse de muse pour inspirer ses personnages, il cherche toujours plus l’inspiration dans ses émotions et ne se met aucune barrière.


Aujourd’hui, il a adopté le même mode de vie que son père, mais ses conquêtes à lui restent un peu plus longtemps, le temps de quelques mois, il s’inspire, les uses et en changent finalement lorsqu’il ressent le besoin de changement. La stabilité qu’il recherchait tant dans son enfance est ce qu’il fuit le plus à présent. Homme, femme, il ne fait aucune différence car ce qui l’intéresse est l’âme des gens et ce qu’il peu en tirer pour son propre intérêt. Il aime enseigner car il aime apprendre et donner, mais ce n’est pas ce qui l’épanouie le plus. Alors il aspire à toujours plus, ici, à San Diego, où il à décrocher un nouveau poste d’enseignement.


✎ liens —

Dave - meilleur ami d’enfance, impossible de se souvenir à quel âge et dans quel circonstance ils se sont rencontré, sans doute parce qu’ils vivaient dans la même rue ? Ce qui est sur, c’est que depuis toutes ses années, ils ne se sont jamais quitté et c’est la présence de Dave à San Diego qui à inciter Léon à chercher un travail là-bas et à suivre son ami de toujours.


François - meilleur mi d’enfance, impossible de se souvenir à quel âge et dans quel circonstance ils se sont rencontré, sans doute parce qu’ils vivaient dans la même rue ? C’est la force tranquille François, le pépère. Il a adopté une petite fille il y a trois ans et vie maintenant entre Las Vegas et San Diego avec sa femme et sa fille. Léon ne se voyait pas rester en Irlande alors que ses deux meilleurs amis ont investi l’Amérique.

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